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François Ropartz, 21 ans

Vianney d'Aboville, 20 ans

Deux amis, un rêve commun

Nous sommes deux étudiants, François à l'IESEG et Vianney à Dauphine.

Amis de longue date, nous sommes tous les deux passionnés de voile, d'océan et d'histoires de grands navigateurs. La transatlantique, c'est une idée, un rêve un peu fou qui a commencé à animer nos discussions dans une ambiance "plan sur la comète" il y a deux ou trois ans.

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Cette année, les planètes se sont alignées pour nous laisser le temps suffisant pour préparer ce projet comme ils se doit. En faisant cette observation, nous avons eu deux choix :

- Attendre d'avoir plus d'argent, plus d'expérience, plus de maturité

- Nous lancer, faire un prêt, et advienne que pourra !

Nous vous laissons deviner quelle option nous a séduite...

"Se lancer dans le grand bain". Cette expression un peu banale représente bien l'ambiance du projet. Non pas que nous ayons prévu de nous jeter à l'eau au beau milieu de l'Atlantique, rassurez-vous, mais, en vérité, nous ne connaissions pas grand chose de la régate, ni de la navigation au grand large. Mais nous avons le désir de nous engager, ensemble, sur l'apprentissage durable de ce monde qui nous passionne.

 

Cette volonté d'engagement nous concerne particulièrement, et nous avons voulu élargir ce défi au delà de notre seul intérêt personnel. Nous sommes persuadés que ce projet peut avoir un impact positif, alors la décision est prise : nous courrons aux couleurs d'Enfants du Mékong, et nous nous engageons à tout mettre en oeuvre pour trouver des parrains pour le millier d'enfants qui en ont besoin.

Une volonté d'engagement

La transatlantique et la navigation au large en général sont une occasion rêvée pour réfléchir, pour nous questionner sur des sujets que l'on ne prend pas le temps d'aborder dans notre vie de tous les jours, et qui sont clef à l'aube de notre départ dans la vie professionnelle.

"Quelle place pour la solidarité dans notre vie ?"

"Quelle est la valeur de notre temps ?"

"Jusqu'où peut-on challenger notre amitié ?"

"Sommes-nous capables de nous mettre en difficulté ?"

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